Bistro Libertés

Bistro Libertés avec Charles Prats : Fraude sociale : qui sont les voleurs ?

Publiée le 09/10/2020
Son livre "Cartel des fraudes" a fait l'effet d'une bombe : 5 millions de "fantômes" bénéficient indument de nos prestations sociales pour la somme annuelle de 50 milliards d'euros ! Dans Bistro Libertés, le magistrat Charles Prats révèle tout de la grande fraude "connection" : nos 3 doyens ont 128 ans, l'AME profite aux trafiquants de drogue, la Sécu finance le djihad. A ses côtés, deux experts de poids : l'économiste Philippe Murer et le journaliste Nicolas Vidal. Qui sont les fraudeurs, les voleurs ? Réponse dans ce Bistro mené à un rythme d'enfer et qui fait sauter tous les tabous ! Au programme des débats : 00:24:07 1) Fraude sociale ou gabegie générale ? La fraude sociale est-elle le révélateur d’un Etat-gabegie qui finance et ne contrôle financièrement plus rien ? Et qui dilapide l’argent public tout en imposant aux citoyens une perpétuelle hausse des impôts et des taxes ? 01:16:02 2) Révolte sociale ou révolte générale ? Devant les injustices sociales et la crise économique dont le Covid a été le révélateur, peut-on s’attendre à une sourde révolte sociale ou à un embrasement général et d’une intensité plus forte que le mouvement des Gilets Jaunes ?

Frédéric Taddeï : un soir comme jamais à Bistro Libertés !

Publiée le 10/12/2025

Frédéric Taddeï est l’invité spécial d’Éric Morillot pour cet épisode. C’est une des grandes figures audiovisuelles françaises du XXIème siècle. 

On compte sur les doigts d’une main les grandes émissions culturelles et intellectuelles du "mainstream" de ces 25 dernières années et à chaque fois son nom y est associé. Jugez-en vous-même : après "Nulle part ailleurs", il remplace Thierry Ardisson à "Paris dernière". Il enregistre une moyenne de 5 millions de téléspectateurs avec "D’Art d’art", une belle performance pour une émission qui raconte les secrets d’une œuvre d’art. Il fustige la médiocrité des programmes audiovisuels et ne se contente pas de mots : il est à la tête de "Ce soir ou jamais", la dernière émission d’idées du service publique. Delphine Ernotte se sépare de lui puisqu'il y a "trop de mâle blanc de plus de 50 ans à la télévision". Une télévision qui abandonne sa mission d’éveil culturel pour se tourner vers la téléréalité et autres émissions à décérébrer.

 Il se tourne alors vers RT France où il anime "Interdit d’interdire". Il en prend congé en 2022 dès le début de la guerre en Ukraine.

C’est également un homme de radio et c’est même par là qu’il a commencé. Tout d’abord à Radio Nova, mais aussi France Culture et enfin Europe 1. La presse n’est pas en reste et l’on trouve son nom au magazine Actuel, à L’idiot international de Jean Edern Hallier, au Figaro Magazine, à GQ, à la direction de la rédaction de Lui, et enfin, depuis 2025, il est à la tête de Marianne.

Celui qui représente ce que la télévision à fait de mieux et qui n’existe plus est confronté à Béatrice Rosen, Jacline Mouraud, Jonathan Sturel et Greg Tabibian sur le thème : La télé est-elle définitivement morte ?

Emmanuel Macron veut désormais labelliser, trier les “bons” et les “mauvais” médias. Au même moment, la télévision s’embourbe dans les audiences et les polémiques. Commission d’enquête, dérives idéologiques, chaînes en chute libre : l’audiovisuel public prend l’eau de toute part. Pendant ce temps, une autre réalité s’impose : les médias alternatifs explosent, plus suivis que jamais.