Zooms
Zoom - Jacques Bompard : Je fais le procès de la justice française !
Jacques Bompard, chirurgien-dentiste, est surtout un homme politique qui a été maire d’Orange (Vaucluse) de 1995 à 2021. Il aime à rappeler qu’il a mené "60 années de combat politique strictement axées sur la défense du Bien commun". Dans son nouveau livre "Le gouvernement des juges", l’ancien édile mène une charge, sabre au clair, contre la justice française : "le Système a perverti la Justice qui n’est plus un outil à détruire le mal mais plutôt à le répandre". Jacques Bompard énonce les raisons du délabrement du monde judiciaire et les maux qui le gangrènent. Il pointe une justice marquée à l’extrême gauche, politisée et woke. Il dénonce une justice de connivence, sous influence et sans contre-pouvoir.
L’ancien maire d’Orange, qui a été condamné pour prise illégale d’intérêt et qui s’en explique dans l’entretien, rappelle avec force que l’injustice est un mal social, c’est à dire politique. Sa cause est politique ! Le retour de la Justice est donc avant tout une révolution politique au service du Bien commun.
Zoom - Jérôme Ravenet : Souveraineté chinoise : le rêve américain sans les guerres ?
Jérôme Ravenet, agrégé de philosophie et professeur de langue chinoise, publie "Souveraineté à la chinoise - Propos édifiants et curieux sur la Chine socialiste". Un essai consacré au concept de souveraineté, tel que les principaux idéologues du parti communiste chinois en ont pensé l’importance, dans une mise en œuvre qui leur semble être la condition première de toute politique proprement dite, c’est-à-dire de toute liberté collective. Dire qu’en démissionner serait renoncer à la politique elle-même ne suffit pas. Il faut redéfinir et repenser le concept de souveraineté, en s’intéressant à la façon dont les penseurs du projet socialiste chinois, de Mao Zedong à Xi Jinping, en ont eux-mêmes reformulé le sens et les problèmes essentiels. L'auteur a pour but d’aider à comprendre le rôle nouveau de la Chine dans un monde en cours de recomposition. Par sa méthode comparative, il espère aussi être utile à questionner, après De Gaulle, notre propre chemin, aujourd’hui en panne – celui d’une "troisième voie", ni américaine ni orientale, ni capitaliste, ni communiste, simplement conforme aux intérêts fondamentaux d’un peuple français.
Connexion
Afin d'utiliser cette fonctionnalité, vous devez vous connecter :