Eric Morillot a concocté 6 mini débats pour une intensité maxi :

- "Le tour de tables de l’actualité" dont la polémique de Thierry Ardisson autour de Gaza

- La gauche a-t-elle oubliée son antisémitisme ? Clément Weill-Raynal, rédacteur en chef adjoint à France 3 qui révèlera le "mur des cons"

- La dissolution d’Urgence Palestine est-elle méritée ? Avec Yannis Dalouche de La France Insoumise et de l’association Urgence Palestine

- 7 octobre : une guerre de l’ombre entre l’Iran et Israël ? Avec Stéphane Simon, producteur télé qui a collaboré avec Ardisson, Polac et Polony. Il a cofondé avec Michel Onfray la revue Front Populaire.

- #MeToo : la parole des femmes libérée… loin du communautarisme ? Avec la journaliste  féministe Eloïse Maillot Nespo

- La liberté et la réflexion ont-elles quittées le mainstream ? Avec Le Philoseph, un youtubeur dont la chaîne éponyme propose des synthèses de la pensée des philosophes les plus connus.

L’invité spécial d’Eric Morillot est Andréa Kotarac qui pour certains est un OVNI politique et pour d’autres un militant courageux dont le parcours politique fait sens.

Il est probablement la seule personne à avoir connu de près à la fois Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen. 

Il est peut-être la meilleure personne pour répondre à cette question : le RN est il de gauche ?

Il est accompagné de Pierre-Jean Chalençon, Eric Tegnér, Greg Tabibian et Charbel Lakisse.

Andréa Kotarac a participé à la fondation du Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon en 2008, a été responsable des jeunes pour Mélenchon lors de la campagne présidentielle de 2012 et sera élu au conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes en 2015 à seulement 26 ans.

Fin 2015, il travaille à la fondation de la France insoumise, un mouvement initialement fondé pour rassembler le peuple français face à l’oligarchie. Tenant d’une ligne souverainiste à LFI, la montée des islamo-gauchistes en interne le pousse à partir. Il quitte LFI, rend son mandat et appelle aux européenne de 2019 à voter Jordan Bardella et Marine Le Pen pour résister au rouleau compresseur anti-social de Macron.

Tenant d’une ligne sociale, localiste et environnementale, l’œil affiné sur les relations internationales, on le voit en photo en discussion avec des chefs ou anciens chefs d’Etat, du Niger, de Syrie, de Bosnie, du Liban ou encore de Serbie. Il est le seul porte-parole du RN à ne pas être parlementaire mais il est l’un des plus médiatiques et non des moins influents puisqu’il conseille Marine Le Pen à l’Assemblée nationale.