Les Conversations
Les Conversations n°37 de Paul-Marie Coûteaux avec Jean-Yves Le Gallou (2ème partie) - 1985-2022 : la droite se divise et se liquéfie
Jean-Yves Le Gallou pense qu’il est possible de sauver du naufrage notre civilisation à l’échelle du continent en retrouvant ses sources les plus anciennes, notamment ses fondements helléniques - c’est le grand pari de l’Iliade, institut dont il est l’un des fondateurs ; de mon côté, il me semble possible de sauver la civilisation française à condition de rétablir la souveraineté de la France pour se dégager de l’euro-atlantisme et d’engager la rechristianisation de notre peuple. Si nous divergeons sur les remèdes, notre première Conversation, qui relate les pérégrinations de la droite, dont il fut un témoin et un acteur depuis les années 70 et 80, aboutit au même constat désolant : après avoir perdu les grands médias, c’est dire la parole, la droite française se divise au fil des années 80 et 90 pour finalement se diviser gravement.
Relatant dans cette seconde Conversation son parcours de militant, quittant le PR pour rejoindre en 1985 le FN, dont il devient secrétaire général du groupe à l’Assemblée nationale, puis au Conseil régional d’Ile-de-France, puis député européen, Jean-Yves Le Gallou montre comment Jean-Marie Le Pen refusa de développer son mouvement, notamment en lui donnant une implantation locale, montrant ensuite les conséquences de la scission Mégret puis les étapes de la gauchisation du FN, épisodes toujours orchestrés par la manipulation des médias. Saisissant, parmi les premiers, les moyens de ré-information qu’offrent les "réseaux sociaux", il crée Polémia et s’investit infatigablement dans le "combat culturel", le développement de Radio Courtoisie, puis de TVLibertés, et de l’Institut Iliade. Un récit accablant, mais à suivre avec lucidité pour garder nos chances de restaurer une droite au moins française, peut-être européenne.
Les Conversations de Paul-Marie Coûteaux - Hommage à Eric Denécé, orfèvre du renseignement français (Exclusivité TVL)
Eric Denécé, président du prestigieux CF2R (Centre français de Recherche sur le Renseignement), est mort le 12 juin dernier dans des conditions mal élucidées. Beaucoup d’observateurs et de connaisseurs du renseignement rapprochent le sort de cet ancien officier du renseignement de celle de trois agents de la DGSI disparus dans les cinq derniers mois. Cet homme d’une grande élégance, grand travailleur servi par une érudition et une ténacité sans pareilles, obstinément voué à la connaissance de la vérité, destructeur des mensonges et des propagandes qui formatent l’esprit public sur les grandes affaires qui secouent le monde depuis trente ans, au Proche-Orient, en Afrique, en Ukraine, mais aussi dans l’univers protégé des industries de pointe français (affaire Alstom), avait une connaissance prodigieuse des principaux dossiers internationaux du moment. Il en faisait profiter de grandes entreprises françaises, mais aussi des organes de réinformation, tels que TVL, le Nouveau Conservateur et quelques autres. Voici quelques mois, j’ai enregistré avec lui une première Conversation permettant de mieux connaître ce personnage de l’ombre, discret mais efficace : voici cette conversation, accordée en exclusivité pour TVL, qui devait être suivie d’une autre, dont l’enregistrement était fixé à la fin du mois de juin, et qui n’aura jamais lieu. Le premier qui dit la vérité…
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